145 - Je préférerais ne pas
Je préférerais ne pas : traduction maladroite du I would prefer not to lancé à tout propos par Bartleby le scribe dans la nouvelle éponyme d’Herman Melville (1853), l’expression signifie dans notre très postmoderne époque la résistance passive, le haussement d’épaules inquiétant, le (trop) simple refus injustifié.
Je préférerais ne pas : traduction maladroite du I would prefer not to lancé à tout propos par Bartleby le scribe dans la nouvelle éponyme d’Herman Melville (1853), l’expression signifie dans notre très postmoderne époque la résistance passive, le haussement d’épaules inquiétant, le (trop) simple refus injustifié.
Je préférerais ne pas : traduction maladroite du I would prefer not to lancé à tout propos par Bartleby le scribe dans la nouvelle éponyme d’Herman Melville (1853), l’expression signifie dans notre très postmoderne époque la résistance passive, le haussement d’épaules inquiétant, le (trop) simple refus injustifié.
Numéro 145
Printemps 2021
Sommaire
Dossier
Présentation, David Bélanger
Les spécialistes, Daniel Grenier
Après le film, Caroline Guindon
L'aveu silencieux, Marie-Pier Lafontaine
Femme de l'espace, Jean-Michel Fortier
17h48 du matin, Mélissa Verreault
Taire d'où je viens, Annie Perreault
Les ambiguïtés, Patrice Lessard
Cinq gouttes, Louis Carmain
Concours de traduction XYZ/Figura-Concordia
Marche sur une craque, Jill Sexsmith
(traduit de l'anglais par Marie-Pier Labbé)
Thème libre
Jeanne Francis, avis de décès, Julien Farout
Rien, Douglas Smith
(traduit de l'anglais par Mélina Lau)
La mère universelle, David Clerson
Compte rendu
André Carpentier, Le cri du poisson et autres esquisses, David Dorais